Lantz et la forêt des rencontres

Mon ennemi s'empare de son arme avant que je lui asseigne un coup de pied. Mais il se redresse.
(Merde! Pas assez fort! Je suis trop gentil!)
Je m'apprétais alors à continuer de l'attaquer. Mais son mouvement est plus rapide : il tranche le sac et sort la jeune fille. Je suis d'abord ébloui par la beauté de cette créature humaine. Peut-être cela aurait été une occasion en or pour mon adversaire. Mais ses paroles barbares me reviennent à l'esprit et me rendent ma rage que je venais d'oublier à l'instant où mes yeux rencontrèrent ceux de la jeune fille. Je suis désemparé, et encore plus énervé. S'il est assez éloigné de moi, je baisse ma garde, tout en tenant fortement mes armes.
"Que veux-tu?"

Il te regarde avec un sourire sadique, toujours la lame sous la goge de la jeune fille :
"Je veux te manger, j'ai faim, et je ne vais pas manger cette créature avant de la passer à la casserole..." (((quel jeu de mot !)))
Puis son regard se durcit :
"Alors lache tes armes" dit-il en criant, "si tu n'est pas capable de vainvcre tes sentiments, tu vas mourrir..."
Et la fille te fixait, avec ses yeux plein de larmes, tu le savait, il fallait la sauver, il fallait lâcher tes armes, et improviser une fois a fille 'en sécurité'.

(((j'ai pas compris... il est où le smiley "boulet"?)

Je regarde cet être inhumain et pour le moins barbare me proposer cette proposition (((moi j'ai des jeux de mots compréhensifs))). Mon regard se détache pourtant à deux reprises ; la première fois pour voir le couteau sous la gorge, et la seconde pour revoir encore une fois les yeux de la jeune fille. Puis sans hésité, et peut-être sans réfléchir, je laisse tomber mes armes, ou plutôt je les lance vers les pieds de mon adversaire, sans vouloir le provoquer. Je ne réponds lui réponds pas. Je rétracte ensuite mes griffes. Mes yeux essayent de croiser une nouvelle fois celle de la beauté.

Par chance, l'assassin ne voit pas les griffes, que tu as garder sur toi, vu sa tête, il aurait du s'en rapeller normalement, mais l'émotion...fait des miracles... Il lache donc la fille, ou plutot la jette par terre et s'avance vers toi avec son épieu, tu bénificies de l'effet de surprise avec tes griffes, mais son arme est bien meilleure. La fille pleure derriere comme une gamine, quel chochotte, il y a plus de peur que de mal, alors qu'es-ce qu'elle pleure ?

Je ne fais plus attention à la fille, il n'y a plus de danger pour elle. j'attends mon adversaire du même regard que tout à l'heure : un regard noir et oublié. Je n'ai même presque pas bougé depuis que j'ai lancé mes armes à ses pieds. J'attends donc cet horrible homme qui me fait honte de ma propre race. S'il m'attaque, je sors mes griffes le plus rapidement possible pour essayer d'interposer celle de gauche (la plus forte, car mon bras droit est blessé). Puis si j'ai l'avantage de la surprise, je tente d'enfoncer celle de droite dans son ventre. S'il n'est pas assez surprit, je me décale légérement pour essayer de l'avoir quand même.

Il avance, le sourire aux lèvres, léchant le sang sur son épieu, te regardant droit dans les yeux avec son oeil unique, il est maintenant tout proche de toi, lève son arme mais tu es plus rapide, tes griffes de gauche immobilissent son arme, celle de droite s'attaquent à son ventre, ton geste rapide le surprend, il fait un bon en arrière. Son oeil devient blanc, sa haut est rouge sang, sa bouche est ouverte laisse couler un filament rouge...Il tombe par terre, mort, enfin, tu n'as plus peur, tu es sauvé, et tu as sauvé la jeune fille.

Heureux, mais un peu accablé de peur par mes deux meutres, je m'approche de mon adversaire pour m'assurer de sa mort. Je reste le plus vigilant possible, jusqu'au bout. Je regarde ensuite mes mains pleines de sang, la peur m'envahit à nouveau.
(Je suis un tueur... Pourquoi cet effet? pourquoi mon coeur s'emballe...?)
Puis je me tourne vers la jeune fille. Je ne m'approche pas d'elle. J'essaye quand même de lui sourire.
"Ca va? Pas de mal?"
Sans attendre de réponse, je m'en vais fouiller et dépouiller mes adversaire.

(((gagné des XP? )))

(((bien sûr,mais j'attendais que tu les fouille pour tout te donner d'un coup)))

La fille te souris, et parait aux anges, elle ne te réponds pas, mais elle a juste une écorchure et quelques bleus, tout va bien. Tes ennemis portaient un machette de bataille et un épieu, et une dixaine de pièces, 11 exactement.

+11pièces, un épieu, une machette de bataille, une spé maniement de la dague, 2xp+2xp pour le RP, une jolie fille, et c'est tout !

(((youhou! merci beaucu)))

Je prend toutes les affaires des cadavres sur moi, et m'apprête alors à partir. Je me lève, et me tourne vers la jeune fille. J'observe un peu ses légères blessures. Je vois qu'il n'y a rien de grave. J'en profite pour regarder encore une fois ses yeux, puis son corps. Je tourne la tête, et essaye de ne pas rougir, ni de sourir, pour prendre un ton plus sérieux, comme si je me sentais grand et mature.
(Elle est mignone...)
En lui tournant le dos, je lui demande :
"Tu me racontes pas ce qui s'est passé...?"
Puis, je dépose mes affaires encombrantes à terre, pour m'assoir par terre, face à elle, pour mieux la voir.
"D'où viens-tu? Qu'est-ce qui t'es arrivé?"

Assise face à toi, elle te répond en rougissant :
"Je viens de la ville de Krieggot, et je me suis faite avoir par ces assassins, ils ont été méchants, m'ont mis dans un sac et m'ont trainé dedans. Je suis sûre que je suis dévisagé, j'ai des bleus en plus, c'est horrible..."
Après un petit silence, elle te demande timidement :
"Et toi ?"

Je vois qu'elle rougit, et j'essaye de ne pas en faire autant, même si mon corps seul le voudrait. Je l'écoute et lui répond d'un ton ferme, peut-être pour continuer de jouer au héros...
(Des bleus...? C'est quoi? Comme la couleur...? Ya des mots que je connais pas par ici...)
Après qu'elle est finit, je lui réponds :
"Hum... Je vois. Moi aussi j'habite depuis pas longtemps à Krieggot. J'suppose que tu veux retourner là-bas. J'te raccompagne?"
Je me lève, et en voyant ses blessures assez légères j'ajoute :
"Quelques bobos, rien de grave, ça aurait pu être pire."
Je lui tend enfin la main pour l'aider à se relever.

"Non, je ne veux pas marcher tout de suite, je préfère rester parler ici, tu es un aventurier, tu as déjà tuer des gens, raconte moi ta vie"

(bordel quoi! pourquoi je suis tombé sur une nana qui a peur de se fouler un poil et qui veut absolument faire ce qu'elle veut?! Bah...)
Je la regarde, puis laissant un petit blanc, je me rassois.
(Un aventurier... Ouais sûrement... Un tueur?)
Je regarde à nouveau les cadavres.
(Bof...)
"J'ai pas grand chose à raconter, ma vie n'est pas trop intéressante. Ce que je peux dire c'est que je suis assoifé d'aventure... Ya pas grand chose d'autre..."
Mais ses yeux me font repenser à elle.
"Mais pourquoi t'es arrivé là? c'est pas un hasard. Ces mecs t'ont voulu du mal comme ça? D'où viens-tu?"

(merde, il faut que je trouve un technique pour pas lui dire ma mésaventure, c'est trop honteux, j'aurais du trouver autre chose pour rapporter de l'argent, je suis nulle...Je sais !)
Après un blanc où la fille est complétement dans ses pensées, elle te réponds avec enthousiasme :
"Oui, oh oui je viens avec toi pour les aventures, aller, on commence, on part à la ville, je vais acheter des trucs pour taper, j'ai gagner de l'argent aujourd'hui, figure toi que pour m'emmener, les cannibales m'avaient d'abord donner de ...oups, oublie ça, j'ai rien dis"
(merde, la conne, enfin, j'ai 50 pièces grace à ces boufons qui voulait m'attirer !)
Elle te pris la main et avança à grand pas, te tirant. Elle marchait vers Krieggot et dit :
"Alors, c'est romantique une balade dans les bois, n'est-ce pas ? Je me présente, moi c'est Marlysa, et toi ?"
Sa voix était séduisante et dragueuse, le genre de voix qui ébête complètement les petits garçons de 16ans...surtout lorsque que la fille est jolie et plus mûre, à l'âge parfait du corps de la femme...

Elle me prend la main, et je la laisse me guider dans la forêt. Je ne cherche plus à savoir ce qui lui est arrivé.
(Si elle veut pas me dire c'est elle qui voit. Elle a l'air un peu casse-couille quand même, ça me dégoute un peu. En plus je suis jamais sorti avec des filles, et encore moins quand elle sont beaucoup plus grandes que moi.)
Je suis traîné un peu comme un boulet, mes yeux balladeurs déroulent vers le corps de la fille, en s'arrêtant souvent aux endroits aux hauts reliefs... Je finis par me détacher de sa main au moment d'entrer dans la forêt.
"Tiens, prends cette machette, ça pourrait être utile..."
Je lui tend l'arme que j'avais sorti.
"Ca pourrait devenir dangeureux, sois attentive et fait pas la conne."
(Je sens venir un coup foireux de sa part.)
"Je reste derrière toi. On y va."
Je marche derrière elle, moins attentif qu'avant vu ce qui se trouve devant moi.

Vous rentrer dans la forêt, quand elle commence sérieusement à t'aguicher, tu es beau, courageux, elle aime bien ce genre de mecs...bla bla bla, enfin, les phrases ridicules ponctuées de sous-entendu limites qui réveillent la libido des petits gars comme toi... Elle commence à te raconter sa vie, dire qu'elle n'a pas assez d'amour... ect.
Sa discrétion est telle, qu'un petit hobbit, arrive face à vous. Tu ne l'a pas vu de suite, tes pensées étaient perdues sur le sommets des volumes de ta compagne. Le petit hobbit fait apparaître un squelette, qui s'attaque à la fille, dont tu ne connais toujours pas le nom. Comme un fille plutôt niaise, elle lâche le cimeterre, cache son visage en criant d'un cri sur-aigu...

(((si, elle se pelle Marlysa )))

Un peu perdu et confus, je me réveille en fait par le cri de la fille. Admirant son courage au combat je décide de lui prêter main, la plus forte possible. Je me jette sur le squelette en gardant mon bras gauche et ma dague en défensive pour parer n'importe quel coup. Je le charge avec mon autre dague en lui donnant un coup le plus violant possible : je mise sur la vitesse et la force. Mon premier objectif est de protéger la fille, et c'est pour cela que j'attaque le monstre, pour le mettre hors de portée d'elle. Mais je garde une attention au hobbit que je viens d'apercevoir. Je regarde s'il vient se battre au corps à corps, dans ce cas je lâcherai le squelette pour envisager une autre attaque. Sinon, je continue de m'acharner sur le monstre, en pensant plus à l'attaque qu'à la défense, mais en gardant quand même un bras entier en secours.
(quelle teubée cette fille! Je serais pas là elle serait déjà morte deux fois...)

Le squelette a pour seul but de tuer la fille, tu l'attaque donc facilement, il fait à peine attention à toi qui le frappe, tu le réduit vite sans même etre touché. Marlysa n'a rien non plus. Tu regardes le hobbit, qui invoque un autre squelette, il a une épée courte. Cette fois ci, le mage ne fait pas d'erreur, et le squelette se lance sur toi et non sur la fille. Il s'avance tandis que Marlysa crie toujours. Le hobbit tente de s'écarter du combat discrètement, il sens que tu es fort, mais tu ne résistera pas à 150 squelettes...

Lorsque je vois que le hobbit invoque un deuxième squelette, et que celui-ci fonce vers moi, je cours vers l'invocateur sans réfléchir, et en évitant la nouvelle apparation qui s'attaque à moi. J'essaye de ne pas me battre avec le squelette, mais plutôt de l'éviter, en gardant mes deux dagues en position défensive, pour qu'il me poursuive. Ma vitesse ne m'a encore jamais joué de défaut, alors je l'utilise pour foncer le plus rapidement vers le hobbit. Je fais attention à ce que le squelette me suive. Si ce n'est pas le cas, je lui envoie mon épieux en visant le mieux possible pour le détruire, ou le mettre en position délicate. Ce serait trop bête que cette fille se fasse prendre en otage. Une fois arrivé au hobbit, si je l'atteint, je garde mon bras le plus faible en défense, avec ma dague et ma griffe, et je l'attaque d'un puissant coup avec ma dague situé dans ma main la plus forte.

Lorsque que tu as compris, tu cours vers le hobbit, le squelette par dans le sens inverse. Tu lance donc ton épieu alors qu'il est encore proche de toi, le squelette mal inspiré tente de contrer avec son bras, l'épieu le luicasse, son arme tombe à terre, tu arrives ensuite sur le hobbit tandis que le squelette reprend son arme avec l'autre main. Tu tente plusieurs coups avec ta main la plus forte, mais le hobbit esquive bien, il est petit et vivace, mais n'a pas d'arme. Le squelette arrive sur toi pour défendre son maître. Il est à deux mètres, et le hobbit est encore tout proche de toi.

Après avoir lancé mon épieu je me dirige vers le hobbit à toute vitesse. Je suis un peu perdu par mes coups qui passent à chaque fois à côté de ma cible. Je jette un oeil en arrière et voit le squelette. Il ne peut plus rien arriver à la fille, c'est ce que je voulais. Voyant encore la petite distance qui me sépare de l'in vocation, je décide d'assurer mon prochain coup, qui sera peut-être le dernier : je feinte un coup de dague, et au dernier moment je fais exprès de passer à côté. A ce moment mon pied gauche (le plus fort) est déjà parti vers son tibia. J'essaye de le faire reculer pour gagner encore un peu de distance. S'il évite encore ma charge, je continue de l'attaquer en changeant cette fois-ci par des jabs (petits coups très rapides du bras le plus faible) pour qu'il ne s'y attende pas. Si je sens que je ne peux plus l'attaquer à cause du squelette, j'essaye d'esquiver ce dernier, ou au pire de le contrer, pour ensuite le contre-attaquer si je peux. Si mon premier coup au tibia réussi, j'essaye d'enchaîner, encore une fois si j'ai le temps, avec un coup de dague dans le ventre. Enfin, si après tout cela le hobbit est vivant, je me concentre encore sur lui en essayant d'éviter le squelette le plus possible.

Ton coup de dague par bien à coté, normal, et ton coup de pied qui suit tape dans le vide, le hobbit a encore esquiver ! Il pris la dague de son invoquation et l'envoya ramasser ton épieu. La fille s'est cachée, elle ne risque rien. Mais le hobbit toujours aussi rapide t'attaque avec l'épée courte du squelette, te blessant la cuisse...gauche(((-10pv))). Enervé, tes coups de 'jabs' partent bien, très bien, Et tu atteint plusieurs fois le hobbit qui n'arrive plus à esquiver tes coups trop rapides. Ton dernier coup de dague est bien plus puissant...et vient transpercer le hobbit nécromancien. Il tombe à terre souris... Tu commences vraiment à te poser des questions, pourquoi les condamnés sourient toujours avant de mourir ? Tu le comprend vite, l'e squelette dans la derniere seconde de sa vie viens te planter l'épieu dans le dos. Heureusement, c'est fini. Le hobbit meurt, le squelette repart d'où il vient, et tout en bien qui fini bien, enfin...t'es pas mort, c'est déjà ça. (((-15pv, plus que 10pv...))).
Marlysa sort de derriere un arbre ou elle était caché et te saute dans les bras, vous tombez lourdement à terre, tu n'as plus assez de force pour la porter... Vous avez l'air con !

Après avoir tué le squelette je me retourne. Marlysa me sate dessus, et nous tombons.
"Arrête tu me fais mal."
J'attends qu'elle se relève et me laisse, en faisant attention qu'elle ne me blesse pas par n'importe quel moyen. Je fouille le hobbit et reprend les armes à terre. Je déchire ensuite quelques bouts de ma veste pour entourer ma jambe gauche et mon bras droit.
(J'espère on va bientôt arriver à la ville, 'fau que je me repose)
"On y va" demandais-je à Marlysa après m'être tourné vers elle.

+2xp+2xp, ce qui fait que tu es niveau 2(+une spé de ton choix) ! Tu recupères 20p sur le hobbit !

Tu rejetes Marlysa, elle est toujours aussi souriante et décide de te soigner, après l'avoir gentillement rejeter encore une fois, elle insiste et prend un bout de tissu. Alors que tu as espérer qu'elle le prenne sur elle, elle pris un bout de tissu sur le hobbit, dommage...Mais elle te soigna à merveille, et quelques minutes plus tard, tu marches sans avoir trop mal, elle te tient par la bras pour te soutenir, mais ça ne t'es pas d'une grande utilité...

(((cool. J'aimerai une spé comme la rapidité et l'esquive. Si y a pas, ajoute moi un niveau pour le maniement de dague.)))

Je finis par me laisser faire lorsqu'elle veut à tout prit me soigner. Je sens qu'elle réussi à merveille.
"Je te remercie beaucoup."
Nous continuons ensuite notre chemin... Je finis par lui demandeer, lui conseiller d'un ton calme :
"Tu peux me lâcher, ça ira, je te remercie. Prends plutôt une arme et essaye de nous défendre au cas où on nous attaquerait encore..."
Je reste toujours le lus attentif possible à ce qui se passe aux alentours, en essayant d'oublier ma douleur. J'essaye de marcher un peu plus vite, pour que l'on puisse ateindre la ville plus rapidement.