Lantz et la forêt des rencontres

(((a toi)))

Je m'enfonce dans la forêt mes deux dagues en mains. Je lève la tête pour voir le ciel et le soleil, afin de deviner l'heure qu'il est. Je marche prudement en faisant attention à tout ce qui se passe autour de moi.
(Reste attentif...)
Je sens mon coeur redoublé en intensité, et mes mains devenir moites. Le but de cette aventure est découvrir des nouvelles choses pour moi. La direction que j'ai prise est opposée à celle que l'on doit prendre pour aller à Tiergot. Je marche en quête d'aventure.

(((l'opposé de Tiergot n'es pas sur la carte, mais tant pis, on dit que c'est une forêt)))

Le soleil est à son plus haut, on doit être à peu près au milieu du jour. Tu t'avance courageusement dans la forêt qui t'es inconnue, et tu vois des sangliers et des brigands, naturellement. Les brigands croient être discret caché dans les arbres, mais tu les vois quand même. Ils n'ont pas l'air interessés par ta bourse vide.

(((justement...)))

Je ne me préoccupe pas des brigands. Je garde mes deux lames dans mes mains, comme si elles y étaient encrées. Je m'aventure encore plus profondement dans la forêt, en restant le plus attentif possible à tout ce qui se passe aux alentours.

Tu entres dans une prairie, avec de longues herbes sauvage. Au loin, tu vois deux grandes silouhette, sûrement des humains, qui traînent un gros sac. Ce qui t'étonne, c'est que tu entends crier, des cris aigus, qui viennent...du sac ?
Ils ne sont qu'à 150m de toi et marche lentement en te tournant le dos.

Je fronçe les sourcils en voyant cette scène.
(Qu'est-ce que...?!)
Je garde toujours mes deux dagues dans les mains. Je m'avance alors très doucement et très prudement vers ces deux personnes. Je cours d'abord vers eux en essayant de faire le moins de bruit possible. Puis arrivé à cinquantes mètres je marche un peu plus vite qu'eux, doucement. Je tend d'abord l'oreille pour en savoir plus.

Tu t'avances prudemment, il ne t'on pas vu ni entendu, mais tu es encore trop loin pour entendre quelquechose. La prairie n'est faite que d'herbes hautes, s'ils se retournent maintenant, ils te verront à coup sûr.

Dès que je m'aperçois qu'ils se retournent, je me jette à terre le plus rapidement possible pour être cachés par les herbes hautes. S'ils ne me voient pas, je me raproche le plus près possible pour savoir ce qui se passe réelement dans ce sac.

Les hommes que tu vois maintenant bien, se retournent maintenant à cause de ta forte respiration, et ta cachette dans l'herbe les fait bien rire, ils lâche le sac et s'avancent, ils sont munis d'une machette de guerre et d'un épieu, ils ont l'air très brutaux. Ils avancent maintenant vers toi, avec des grands sourires de canibales .

Je me relève donc le plus rapidement possible, puis je recule de façon à être assez distancés d'eux, environ 10 mètres. Mes deux dagues sont toujours dans mes mains. Je leur rend un petit sourire, comme si j'étais sûr de moi, même si je ne le suis pas du tout. Je ne me place pas en garde, mais reste un pied devant l'autre. Je ne fais rien d'autre que de les regarder ; je ne dis rien. En fait, c'est comme si je les attendais d'un pied ferme.
(Bordel... Ils ont l'air méchant quand même... Réflechissons...)
Je regarde autour de moi, j'observe tout ce qu'il y a d'observable, pour que peut-être une idée me vienne. Enfin, je reprends ma position d'il y a quelques secondes.

Les canibales, qui sont apparament sûr d'eux, décide que seul celui avec la hachette te tapera, et que l'autre te mangeras. Il s'avance donc vers toi, tranquillement, son arme baissée, avec toujours le même sourire. Autour de toi, tu ne voit rien, juste le sac, derriere les ennemis, qui bouge.

(((mort de rire : "Les canibales, qui sont apparament sûr d'eux, décide que seul celui avec la hachette te tapera, et que l'autre te mangeras".)))

Toujours comme si j'étais sûr de moi, je m'approche du mec à la hachette, doucement, en étant cette fois-ci sérieux.
(Il a pas l'air commode. Y va me faire bobo? Nan! Pas à moi! Je vais prendre toute mon énergie en mains et je vais le battre!)
Arrivé à cinq mètres je m'arrête.
"Qu'est-ce que tu veux?"

(((je me suis trompé, c'est l'homme à la Machette, pas hachette)))

Il te regarde, avec des yeux et un sourire de psychopathe, et te réponds :
"Manger !"
A ce moment précis, tu regarde la prairie, et tu penses qu'éventuellement tu vas mourrir ici, manger par ta propre race. Le sac bouge toujours, mais le lien qui ferme le sac est bien serré visiblement. Le cannibal se jete sur toi, sa machette de guerre en l'air, surement pour t'arracher la gorge. (((enfin c'est un détail d'une importance que secondaire, la gorge ou le coeur...)))

(((génial c'est encore plus barbare, merci, lol. et puis je préfère la machette par l'anus, il paraît que ca fait pas si mal que ca la première fois...)))

Je regarde attentivement mon adversaire se jeter sur moi. D'un coup des plus rapides que je puisse executer, j'effectue un petit saut sur ma gauche (s'il est droitier), pour me retrouver sur sa droite. Si j'y arrive, je tente de lenchaîner par deux coups : le premier vise son poignet pour le blesser et l'empêcher de manier son arme, le deuxième est un autre coup de dague dans les côtes. Avant que mon ennemi ne riposte, je pense d'abord à reculer un peu pour ne pas être victime d'un méchant coup. Néanmoins, si mon esquive primaire ne fonctionne pas, je fais tout pour esquiver ses prchains coups, ou au pire les contrer.

Tu l'esquive, mais il a suivit ton mouvement, et il fini son grand coup de machette sur ton bras, tu as quand même éviter le pire et te décalant, la lame est arrivée à vitesse lente. (((-15pv))) Ton coup de dague vers le poignet est donc impossible, ton bras bléssé n'étant pas assez rapide pour tenter ce geste. Ton coup dans le ventre par très mal, tu l'écorches à peine, mais il se tord à cause de ce coup, qui a écorcher une partie du corps qui était tendu, tu es donc 'le nez sur son dos'.

Je serre les dents et profite de ce léger avantage pour m'appliquer. Avec mon bras encore sain (((droit ou gauche?))) je donne un coup de dague très rapide, et le plus puissant possible. S'il est touché, je m'applique encore pour continuer ma charge dans un enchaînement avec mon même membre. S'il évite ou contre mon attaque, je me replie le plus vite possible pour ranger ma dague, et prendre possession de ma griffe.

(((bras gauche intact ; bras droit légèrement écorcher / et ce sont des griffes qui sont déjà sur ta main, va qu'elles ne te gènent pas pour tenir tes dagues)))

Ton coup de dague et rapide mais prévisible, il écorche encore une fois ton adversaire qui a pu esquiver un peu, il t'attaque directement avec sa machette vers ton bras, mais tes reflexes te sauvent. Tu as encore l'avantage de la position, il est face à toi et il n'est pas en position de combat...toi tu es prêt. Son copain le regarde toujours, il parait encore confiant, le sac bouge et crie, mais impossible de défaire les liens.

Je n'attend rien de plus et continue d'attaquer mon adversaire le plus rapidement possible. Je lui donne d'abord un gros coup de ma griffe droite. Je vise son ventre. Sans m'attarder je continue avec ma dague gauche en essayant de la planter juste au dessus de ma précédente tentative. Je recule ensuite d'un pas. Je vois que l'autre home a l'air confiant. Cela m'énerve un peu.
(Je vais, je dois le battre. C'est quoi ces types? qu'est-ce qu'ils veulent? Je vais leur montrer de quoi je suis capable, ma determination va faire la différence. Je reste concentré...)
Si mon ennemi m'attaque, je garde ma dague en une position défensive, et mon poing droit avec ma griffe prêt à effectuer une quelconque contre-attaque. S'il ne m'attaque pas, je le fais envers lui. Je feinte un revers de dague : je prépare mon arme en haut de mon épaule droite. Arrivé à lui je délaisse mon bras gauche qui part et fait semblant de le toucher. Mais c'est ma griffe droite qui tente de s'enfoncer dans son ventre.

Tes coups partent bien et tu l'entaille à plusieurs endroit, quand il arrive à s'en défaire, il t'attaque avec sa machette en levant la main, ta position défensive était pas mal, mais il te touche quand même à l'épaule droite, tes contres-attaque rapides ne le touchent pas mais le font reculer. L'autre lève son arme, il semble tout à coup moins sur de lui.

(((-15pv, heureusement que tu RP bien !)))

(((merci ^^)))

Peu après mes contre-attaques, je recule de trois pas pour respirer deux fois. Je pose mes yeux sur mon épaule droite. Je souris légérement, comme si je m'en moquais. Puis je les lèvent ensuite simultanement sur les deux hommes qui sont en face de moi. S'ils m'attaquent je pense d'abord à me défendre, puis dès que je sens qu'il ralenti un peu j'essaye de contre-attaquer rapidement avec ma dague, puis ma griffe, avec lesquelles je tente de l'asseigner à différents endroits. Si on ne m'attaque pas tout de suite j'avance doucement vers mon premier ennemi avec un léger sourire du coin des lèvres, pour leur faire peur.
(Héhé. C'est chaud quand même, 'faut que je fasse attention, que je reste attentif, que je les surprenne tous les deux, en étant imaginatif.)
Dès que j'arrive à lui, je l'attaque avec ma griffe, en gardant ma dague en position défensive. Pendant trois-quatres coups je l'attaque de cette manière, puis d'un coup, quand je sens que l'avantage est en moi, je pointe vélocement, énergiquement ma dague vers son ventre. J'y vais sans peur de tuer, sans hésitation.

Le canibale visiblement énervé et affamé, te regarde avec des yeux comme possédés. Il t'attaque tel un choien enragé, ses coups sont multiples, précis, puissants, tu n'as le temps de rien voir et encaise inlassablement. Tes blessures se multiplient et tu as très mal au bras droit, ses poing et son arme s'acharne sur toi, mais à la seconde S, il ralentit légèrement et tu saisit l'occasion, ta dague vient se planter dans son corps avec une violence rare. L'ennemi s'arrete dans sa frénesie d'énervement. Pendant que tu enlève ta dague lentement, lui est immobile, recrocvillé sur son ventre plein de sang. Mais là, tu est parcouru d'un frisson, il te regarde avec un sourire, et te vomi un mélange de sang et de tripes sur toi, avant de s'effondrer, mort. Il gît à tes pieds, et tu lève les yeux pour regarder son ami, qui tient encore son arme, mais paraït désemparer. Il est à 10m de toi, et te regarde avec des yeux pleins de haine. Il lève son arme et t'attend. Le sac s'est arrêter de bouger, ressentant surement ce qui se passe à l'extérieur.

-30pv, +2xp, +2xp pour le RP, plus qu'un à tuer...

(((merci ^^)))

Je tue mon premier adversaire. La peur me traverse, c'est la première fois que je tue quelqu'un.
(C'est la première fois que je tue quelqu'un... Je ne pensais pas que cela me ferait autant... bizarre. C'est pourtant facile. J'dois pas m'en vouloir, je m suis défendue.)
En pensant à la mort que je viens de donner, un esprit de haine me traverse. Lorsque le cadavre me vomi dessus, je suis un peu dégoûté, mais cela me fait comme plaisir... Je lève la tête vers le second homme qui me fait maintenant face. Je ne pense plus au sac. Je marche avec un regard à la fois obstiné et oublié. Je pense d'abord à faire souffrir cet homme qui me paraît mauvais. J'avance lentement vers lui, mes traces de combat expriment que je me fiche d'être blessé. Je garde ma dague gauche ensanglantée bien enfoncée dans ma main. Quant à ma main droite elle est tendue, laissant bien voir ma griffe. Je m'avance vers lui, attendant une attaque de sa part que je suis prêt à contrer de ma dague en restant le plus concentré possible. Je suis également prêt à contre-attaquer. Si mon adversaire m'attend, je le satisfait en l'attaquant à l'aide de ma griffe. Je garde ma dague en retrait pour ma défense.
Dès que je peux, dès que je sens que mon adversaire est un peu étourdi, je feinte une nouvelle attaque avec ma griffe, mais je tente de lui donner un coup de pied gauche (le plus fort) au niveau de son genoux droit. C'est un coup de pied des plus rapides que j'aie déjà éxecuté.

L'ennemi te regarde arrivé, avec un profond regard de haine, son épieu à la main. Ne t'attaquant pas, tu te lance sur lui avec tes griffes, tu lui arrache son haut, mais il ne semble que très peu affecté. Il contre attaque en vous planter son épieu dans ton corps, mais ta dague est bien placée, elle enlève l'épieu de sa trajectoire rapide et direct (((quel chance...))) Tu sens maintenant sa surprise, et tente ton coup de griffes, qui viens se planter dans le visage du cannibal, il a perdu un oeil et pisse le sang, ses deux mains viennent se colées sur ses blessures, il hurle de douleur, son épieu tombe à terre. Ton coup de pied par, mais tu loupes le genou, la base du pied que tu touches lui permet de garder l'équilibre, il se baisse maintenant pour reprendre son arme, il est à terre et tente de se retire comme il peut, en roulant, ta position debout est très favorable, il est à tes pied et tente de rouler, se qui paraît pitoyable, devant toi, grand guerrier presque déjà vainqueur, debout avec tes armes pleines de sang.

(((09 et 06, ça aide...avec les RP en plus, quel puissance^^)))

(((héhé merci ^^, c'est sur ca aide, mais t'es barbare quand même ^^)))

Après avoir contré et attaqué mon adversaire avec une telle réussite, je sens d'abord une confiance en moi que je ne connaissais pas aussi forte. Mais je ne suis pas tout à fait satisfait.
(Cet homme me fait pitié. Je devrais le laisser partir. Mais nan, il me manque quelque chose...)
Encore une fois, tout en pensant, je ne m'attarde pas sur mes attaques, et j'essaye d'enchaîner mes gestes le plus rapidement possible. Maintenant que mon adversaire est à terre face à moi, je tente de lui donner un coup de pied dans sa tête. Je n'essaie pas de l'assomer ; mon coup est modéré, j'essaie juste de l'étourdir. Mais je fais quand même très attention à une attaque de sa part qui me surprendrait. Dans ce cas je garde ma dague toujours bien positionné, avec ma griffe droite en premier plan pour contre-attaquer. Si je réussis mon coup de pied, je tente de prendre possession de son arme avec ma main droite. Pour enfin appuyer la semelle de mon pied contre sa face, pour lui parler sans qu'il ne puisse riposter.

L'assassin tant bien que mal saisit son arme, avant de se prendre ton coup de pied, mais il était trop modéré, ta confiance t'a peut-être trahie, il se relève avec beaucoup de vivacité vu son état et se positionne à quelques pas de toi, juste à côté du sac, en te regardant avec un sourire, il tranche le sac avec son épieu, et en sort une fille enchaînée, il te regarde et dit comme pour t'apitoyer, en mettant son arme sous la gorge de l'humaine :
"Alors, un gamin comme toi ne voudrait pas être responsable de la mort d'une jeune pucelle encore fraîche, regarde ses cheveux blond ondulés qui sont si beaux, ce serai dommage de les TACHER DE SANG !!!"
Son oeil était devenu rouge de colère, de vaisseaux sanguains avaient éclatés un peu partout sur son visage lors de ses derniers mots. Et la fille, dont du ne connaissait rien, de regardait pleine d'espoir, comme si vous étiez de grands amis depuis toujours, comme si vous vous faisiez confiance depuis tout petits. Ses beaux yeux ruisselaient de larmes et d'impuissance, tu étais le seul à pouvoir la sauvée. Et malgré les circonstances, tu ne pouvais t'empêcher de penser comme un petit garçon, qui veut être un héros pour que la belle princesse lui saute dans les bras. Ta pensée se figea sur une dernière phrase : c'est une fois sauvée que la princesse est reconnaissante, pas avant, il te fallait agir...

(((tu dira merci à Tanim, qui voulait une autre fille dans le jeu... )))